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Maturation et effets prolifératifs de la progastrine humaine dans les souris transgéniques


Auteurs :

Wang TC, Koh TJ, Varro A, Cahill RJ, Dangler CA, Fox JG, Dockray GJ.

Abstract :

On a postulé que les gastrines transformées de manière incomplète jouent un rôle dans la croissance du tractus gastro-intestinal, mais peu d'études ont examiné les effets de la progastrine sur la prolifération des muqueuses in vivo. L’expression du gène de la gastrine humaine et la maturation de la progastrine ont donc été étudiés chez des souris transgéniques contenant un minigène de gastrine humaine (hGAS) et comparé à la maturation chez des souris portant un transgène d'insuline gastrine (INS-GAS) qui surexprime la gastrine amidée. Le traitement à la progastrine a été étudié en utilisant des antisérums et des dosages radioimmunologiques spécifiques à la région, un marquage biosynthétique, une immunoprécipitation et une HPLC. Les effets prolifératifs dus à la surexpression de la gastrine transformée et non transformée chez les souris INS-GAS et hGAS, respectivement, ont été déterminés par histologie de routine et incorporation de BrdU. Les îlots pancréatiques d'INS-GAS ont pu produire de la carboxyamidated G-17, ce qui a entraîné une double élévation du sérum au gastrine, un épaississement marqué de la mucosa oxyntique et une augmentation de l'indice d'étiquetage BrdU (LI) de l'organisme gastrique. En revanche, les foies de souris hGAS adultes exprimaient une quantité abondante d'ARNm de gastrine et de progastrine humaines, mais étaient incapables de transformer ce peptide en une forme amidée mature, ce qui entraînait des taux sériques élevés de progastrine et des taux de gastrine amidés normaux. Néanmoins, il y avait une augmentation marquée de l'indice de marquage BrdU du côlon chez les souris hGAS (LI 7,46 ± 1,90%), ainsi que chez les souris INS-GAS (LI 6,16 ± 1,17%), comparativement aux. souris témoins de type sauvage appariées en âge (LI 4,01 ± 0,98%, P <0,05). Ces études suggèrent que les précurseurs de gastrine incomplètement traités pourraient contribuer à la prolifération des muqueuse du côlon in vivo.

Affiliation des auteurs :

Department of Medicine, Massachusetts General Hospital, Boston 02114, USA

Lien vers la publication originale :

https://www.jci.org/articles/view/118993 Support de la publication originale :

The Journal of Clinical Investigation

DOI :

https://doi.org/10.1172/JCI118993


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