Auteurs :
Stephanie Cobb, Thomas Wood, Jeffrey Ceci, Andrea Varro, Marco Velasco, Pomila Singh
Abstract :
BACKGROUND
Les auteurs ont récemment signalé que des souris transgéniques (hGAS) exprimant des niveaux pharmacologiques de progastrine (PG) (> 10 nM à 100 nM) présentaient une sensibilité accrue à la carcinogenèse du côlon en réponse à l'azoxyméthane (AOM). On ne sait pas si la PG fonctionne comme un cocarcinogène aux concentrations observées chez les patients atteints d'hypergastrinémie (∼.0 nM).
MÉTHODES
Les auteurs ont généré des souris transgéniques qui surexprimaient la PG humaine de type sauvage (wtPG) ou mutante (mtPG) dans la muqueuse intestinale en utilisant le promoteur Fabp (protéine murine de liaison aux acides gras). Les souris Fabp-PG et leurs petits sauvages ont été traités avec l'OMA, et leurs colons ont été examinés pour des lésions prénéoplasiques (foyers de crypte aberrante[ACF]) et néoplasiques (adénomes[annonces] et adénocarcinomes[AdCas]) après 2 semaines et 6 mois de traitement.
RÉSULTATS
L'ACF et les tumeurs étaient significativement plus fréquentes (par un facteur de ∼) dans les spécimens de côlon des souris Fabp-wtPG et Fabp-mtPG que chez les souris de type sauvage. Il est à noter que la multiplicité de l'ACF et le nombre total d'annonces et d'AdCas, petites et grandes, étaient significativement plus nombreux dans les échantillons de côlon provenant de souris Fabp-PG que dans ceux provenant de souris sauvages, sans égard au sexe.
CONCLUSIONS
Les résultats de la présente étude suggèrent qu'à des concentrations (∼.0 nM) bien inférieures à celles observées chez les souris hGAS, le PG fonctionne comme un cocarcinogène tout aussi puissant et augmente considérablement le risque de carcinogenèse du colon en réponse à l'OMA. Ainsi, la PG peut représenter une molécule cible cliniquement pertinente chez les patients atteints d'hypergastrinémie ou de carcinome du côlon. Cancer 2004. 2004 American Cancer Society.Traduit avec www.DeepL.com/Translator
Affiliation des auteurs :
Department of Anatomy & Neurosciences, Uni-versity of Texas Medical Branch, Galveston, Texas.
Sealy Center for Molecular Science, University ofTexas Medical Branch, Galveston, Texas.
Department of Human Biological Chemistry &Genetics, University of Texas Medical Branch,Galveston, Texas.
Department of Physiology, University of Liver-pool, Liverpool, United Kingdom.
Vel-Lab Research, Houston, Texas.
Lien vers la publication originale :
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/cncr.20094 Support de la publication originale :
CANCER March 15, 2004 / Volume 100 / Number 6
DOI :
https://doi.org/10.1002/cncr.20094